Dire combien j'aimais Apolline !
Elle me préfère François,
Et je regrette bien ce choix ;
J'avoue que ça me turlupine !
Elle a chipé mon trampoline
Pour distraire ce rabat-joie
Qui frétille comme un anchois
Dans la sueur qui dégouline.
Je souffre de ma jalousie,
Et je renonce aux gouzi-gouzis !
Tant que je suis plein de détresse,
Plus aucun accès au Nirvana,
Mais je trouverai d'autres fesses
Pour oublier cette nana !!