Les Haiku de Tony

Ouvrir Voir endormie la belle Agnès
Apporte une joie sans pareille,
Sa grâce est une vraie merveille,
Et l'on sent sa délicatesse.

On dirait vraiment une altesse,
Et l'on craint qu'elle se réveille
À cause d'un mauvais sommeil,
Provoquant ainsi sa tristesse !

On aimerait veiller sur elle,
L'allonger sur balancelle,
En échange d'un radieux sourire ;

Mais je crains un  merci hargneux,
Qu'on ne réserve qu'aux très vieux,
C'est ce qu'ils craignent de pire !

Ouvrir Qui aurait pu croire ça d'Agnès ?
Étant condamnée à confesse,
Elle a accompli la prouesse
D'arriver à pincer les fesses
D'une très vénérable abbesse !
Du coup on a bouclé la messe
Et ce fut un vrai pataquès !

Ouvrir Mais pourquoi donc tant de liesse ?
C'est parce que voilà Agnès !
Dans son regard, de la détresse !
Je parie qu'elle va  confesse,
Et qu'elle va parler de ses fesses,
Objets de si douces caresses !
Pourquoi alors tant de tristesse ;
Ça lui coûtera à peine trois messes !

Ouvrir Un étudiant est mort d'herpès
Pour avoir pincé les fesses
De la chère et tendre Agnès,
Alors en maillot deux pièces.
Quel malheur et quelle tristesse,
A vous dégoûter de la messe !!

Ouvrir J'ai un ami qui est mort d'herpès
Après avoir pincé les fesses
De la chère et tendre Agnès
Qui se baladait en maillot deux pièces.
Ca l'a plongée dans la détresse,
Car elle aimait bien ses caresses !