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Quand on cite le nom d'Urbain,
On évoque tout de suite le turbin
Et le comptage des "talbins",
Sans se soucier de Caribin,
D'Olivier très ancien copain,
Dont le visage était poupin,
Montrant un côté chérubin.
La mer était sa salle de bains !!
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Peut-être né à Saint-Gobain,
Mais pas doué pour le turbin,
Il refuse d'être le larbin
Mais aime beaucoup les talbins !
Comme ce n'est plus un bambin,
Juché sur son tout neuf concabin,
Il scandalise les rabbins,
Par ses histoires de carabin !
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Pas de quoi être fier d'Urbain !
On le prenait pour un rabbin
Car natif de Rambin.
En fait c'était un vrai lambin,
Qui n'aimait pas les gros turbins,
Et refusait d'être un larbin !!
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Pas très sympa ce saint Urbain,
Affligé d'un bec de corbin
Il s'imaginait carabin,
Ce n'était qu'un coquelin
Qui avait horreur du turbin
Et préférait être un larbin !
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Tapi dans sa salle de bains,
Bien loin du trafic urbain,
Olivier compte les talbins,
Torpillés au grand rabbin,
Pour que ses amis cubains
Fassent la fête à St Urbain !
Des bois on dirait Robin !!
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Ça fait longtemps que saint Urbain
Quitta le zoo de la Barben,
Fatigué du trafic urbain,
Pour aller voir chez les Cubains
Comment trouver un concubin !
Ce n'était plus un chérubin !!
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Avec sa face de chérubin,
Facile de voir son côté bambin.
Mais il voulait être rabbin.
Pas question d'être concubin !
C'était un bourreau au turbin,
Mais son jeu favori : « va au bain ! »